Le violoniste canadien James Ehnes et le pianiste américain Andrew Armstrong concluent l’enregistrement des sonates pour violon et piano de Beethoven. L’album débute par la Sonate no 7. Avec ce premier thème au piano s’installe d’entrée de jeu l’intensité dramatique de la pièce. Deuxième et dernière œuvre au programme, la Sonate no 10 clôt l’album en douceur, mais non sans le grand lyrisme propre au grand maître qu’est Beethoven, celui-là même qui a jeté les bases du romantisme.
Les deux musiciens interprètent ici la Sonate pour violon et piano no 3 de Beethoven :